viernes, 18 de mayo de 2018

"La tensión del umbral" en la prensa francesa







"L'écriture peut vaincre le silence." 
Marián Semilla Durán - ESPACE LATINOS



"Histoires morcelées, voix fragmentées, vies fragilisées, êtres à la dérive : par la grâce d'une écriture économe et juste, Eugenia Almeida poursuit son chemin littéraire dans la hantise de ce souvenir pas si lointain où l'Argentine vivait ses heures les plus noires" 


Laurence Péan - LA CROIX



"L’auteur convoque l’uchronie, l’enquête, le roman noir et la politique fiction et donne vie au genre idéal dans une maestria propre et nette comme la découpe d’une lame au diamant. Eugenia Almeida laisse passer une lumière féroce. C’est magnifique et glaçant." 


Lionel Besnier - DÉLIBÉRÉ



"Mené avec une intensité fulgurante, ce roman noir, politique et métaphysique réveille les fantômes de la dictature militaire." 


Claire Julliard - L'OBS



"Il y avait la peur, et personne pour nous expliquer pourquoi il fallait avoir peur. C'est resté enfoui tres longtemps."
Pierre Boisson et Stéphane Régy
SOCIETY



"On sort d’une lecture, dont on ne peut à aucun moment s’arracher, l’esprit fiévreux et l’âme broyée." 
Albert Bensoussan
EN ATTENDANT NADEAU



"En tant qu'intellectuelle, rien ne peut me rendre plus heureuse que d'avoir un impact sur la situation politique que nous traversons actuellement." 

Entretien d'Elise Lépine
TRANSFUGE



"Comprendre est impossible. Parce que la vérité est impossible. C’est un paradoxe total, mais c’est précisément sur cette idée que s’appuie le roman." 


Entretien mené par Thomas Bleton
ZONE CRITIQUE



"Un art très maîtrisé de l'atmosphère et de la tension. Une écriture épurée au possible. Sous les habits du roman noir, se niche une réflexion métaphysique sur le besoin de vérité." 
Alexandre Fillon
LIRE



"Ce qui m'intéresse, c'est de comprendre comment un crime nous parle d'une société donnée." 
Entretien de Tatiana Dilhat
VOCABLE



"La narration habilement construite permet de maintenir l’enquêteur dans un labyrinthe, tout en dévoilant au lecteur, en une peinture sombre et puissante, les séquelles du terrorisme d’état de la dictature." 
CHARYBDE 27 : LE BLOG



"L'Argentine n'en a pas fini avec ses démons des années noires de la dictature." 


Delphine Peras
L'EXPRESS STYLES



"Ce nouveau roman de l'Argentine Eugenia Almeida est habité d'une ambiance particulière accaparante et en même temps perturbante dans laquelle le lecteur plonge dès les premiers mots." 


Cécile Pellerin
ACTUALITTÉ


"Ce roman magistralement construit fait la part belle aux dialogues secs, tendus, sans fioritures, et enchaîne les chapitres, assez courts, en alternant les points de vue, et crée ainsi une impression d’urgence à peine respirable." 


BLOG VOYAGES AU FIL DES PAGES



"Très noir, le troisième roman d'Eugenia Almeida cisèle les rapports de force entre police, médias et politique à travers les conversations glaçantes des différents acteurs de ce microcosme du pouvoir." 


Esther Sánchez
QUÉ TAL PARÍS



"Un roman vif, viscéral, efficient où les chapitres courts s'alternent très rapidement nous faisant suivre différents protagonistes sur la même intrigue" 


BLOG LÉA TOUCH BOOK


"Le roman noir permet à Eugenia Almeida de donner forme à cette angoisse terrible qui étreint les fils et les filles de la dictature, enfants perdus dans les décombres d’un vaste mirage" 
Claire Mazaleyrat
LA CAUSE LITTÉRAIRE



"Un mal nécessaire, porté par une très belle langue." 
Elise Lépine
TRANSFUGE



"Un drame étouffant, intensément mené." 


Laura Daniel
SANG FROID




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